mercredi 16 octobre 2013

Gorilla - Bruno Mars

Désolée les filles, j'ai une de ces flemmes en ce moment, je ne poste donc plus et je ne me suis toujours pas remise à écrire mes articles sur le psycho, je reviens vous parler un peu musique aujourd'hui. C'est bien la seule chose à laquelle je reste fidèle.



Hier, à ma grande surprise, en traînant sur Facebook, j'ai suis tombée sur le dernier clip de Bruno Mars, Gorilla, une de mes chansons favorites du dernier album voire la chanson favorite.
Première réaction, "Coooool !" mais en tant que grande chieuse je me suis directement dit "Putain mais non fait chier ! J'aime pas quand on sort les chansons que j'aiiime roh, tout le monde va l'aimer maintenant, elle sera plus rien qu'à moi !", parce que c'est connu hein, quand une chanson n'est pas sortie, personne ne la connaît, puis, c'est pas comme si Bruno Mars avait 17 millions d'abonnées sur Twitter (moi ? Accro à Twitter ? Naaah !) et qu'il n'avait plus rien à prouver à son public.

Parlons de la chanson en elle-même, faut dire ce qui est, cette chanson pue le sexe, sans même écouter les paroles, on sait tout de suite de quoi ça s'agit hein ! Petit coquinou de Bruno !
C'est le genre de chanson que t'écoutes, les yeux dans le vide, perdue dans tes pensées, laissant le scénario défiler dans ta tête. Tu t'imagines sauvagement faire l'amour avec un homme, un vrai, pas l'homme qui aura du mal à dégrafer ton soutif et qui, maladroitement cognera ta tête contre le mur. Non non, un homme, celui qui d'un coup de main dégagera ta commode de tous tes produits de beauté (Big up à vous les blogueuses beauté !), un homme qui sans aucun effort te portera sur cette commode et retirera ton soutif sans même que tu t'en aperçoives, bref, vous l'aurez compris, un homme qui fera un sans faute et qui te fera perdre toute raison et once de sagesse.

 Un petit passage qui m'a toujours marquée :

 "If the neighbors call the cops, call the sheriff, call the SWAT we don't stop, we keep rocking while they knocking on our door. And you're screaming give it to me baby, give it to me motherfucker."

Combien de fois je me suis imaginé dans cette situation ?
Je vous le concède, c'est vraiment tiré par les cheveux mais n'est-ce pas le but du fantasme ? Donc oui oui, je me suis bien imaginée continuer à copuler bestialement avec un beau mâle alors que le sheriff, les flics et le SWAT frappaient à la porte. Rassurez-moi, dites moi que je ne suis pas la seule !

Du coup, j'ai visionné ce fameux clip et j'ai franchement été déçue, non pas que le clip soit pourri hein, j'ai été déçue parce que j'ai tellement vécu ces scènes dans ma tête que moi, j'avais déjà mon clip ! Bah oui Bruno, t'as pas pensé à moi ? Tu t'es pas dit que peut-être, j'avais pas besoin de ton clip à toi hein ? Déjà, je le voyais bleu le clip, oui oui, bleu et très sombre et à aucun moment je me suis imaginée une barre de pole dance, je me suis encore moins imaginée crier, assise sur le sol : "Give it to me motherfucker !". Puis les billets, non mais non... Bruno, tu m'as déçue.

Et vous, est-ce que cette chanson vous fait le même effet qu'à moi ou encore une fois je suis un peu trop psycho ? Qu'avez-vous pensé de ce faux clip ? Pour détruire tous vos fantasmes et dures heures de travail d'imagination, c'est par ici ! (Bon, vous l'avez compris, si vous voulez voir le clip, c'est quoi.)
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