vendredi 7 décembre 2012

Les jours de la semaine


Chokebore - Days of nothing

Enfin vendredi, c'est bientôt le week-end, et les autres jours, j'en pense quoi ?

Lundi, je te déteste, je n'ai jamais envie de te voir, jamais envie de te subir, je pense à toi avec une haine intense, tu ne peux pas t'imaginer à quel point je te redoute.
Quand j'arrive au travail, toute cette haine disparaît et j'arriverais presque (presque j'ai dit hein !) à t'apprécier tout le long de la journée !

Mardi, désolée, je ne ressens rien pour toi, c'est pas toi, c'est moi. Je me dis que les  trois prochains vont être longs donc je ne pense pas à toi.

Mercredi, je t'apprécie bien, pas trop trop non plus mais je me sens presque bien avec toi.

Jeudi, je t'apprécie plus que Mercredi, je t'apprécie pas mal, t'es pas canon canon mais t'es pas mal... Mais... Je me dis que bientôt vendredi sera là, forcément, il est plus cher à mon coeur. Désolée, c'est pas toi... Si en fait c'est toi, t'as qu'à pas arriver avant Vendredi hein !

Vendredi, Vendredi, Vendredi, AAAAAAAAAH Vendredi... Toi et moi, c'est très compliqué, Je t'aime de ton mon coeur et te déteste tout autant. Le matin, je te déteste, vers 12h30 ma haine se dissipe, je me détends puis à partir de 16h, je commence à t'aimer un peu, à 17h, je t'aime, à 19h, je t'aime à la FOLIE.

Samedi, bizarrement, je ne t'aime pas tant que ça, je t'aime mais pas d'un amour inconditionnel, j'apprécie tes journées, tes soirées. J'aime profiter de toi au maximum, me sentir complètement libre en cette journée mais ça n'ira pas plus loin, qu'on se le dise.

Dimanche... Que dire de toi ? C'est viscéral, je te déteste, je te déteste de passer aussi vite, de ne pas me laisser le temps de t'apprécier, tu n'as rien fait de mal vraiment... Quand je suis avec toi, je ne peux m'empêcher de penser à Lundi, j'ai peur de lundi, je ne veux pas le voir, je ne veux pas l'affronter. Pourquoi a-t-il fallu que tu arrives avant lui ?
Tu sais, si tu avais été là à un autre moment, je pense qu'on aurait pu vivre quelque chose de très intense car malgré tout, ces petits brunchs, ces petites sorties dans les rues de Paris, ces moments de détentes en ta compagnie, j'aurais pu vraiment t'aimer... Désolée Dimanche, j'aurais aimé t'aimer.

Et parce que je suis gentille... Voici la chanson de la mort qui tue, deux vidéos dans un article, je suis généreuse, je sais je sais :)


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